Fruits et légumes, des bénéfices tous azimuts
Avis d’expert : Bénéfices santé des fruits et légumes, retour sur deux idées reçues
-
L’activité de Patricia Boulos est répartie sur 3 pôles :
- Foodistas, consulting auprès des acteurs de l’agroalimentaire (Science-based + Solution-oriented), notamment basé sur l’audit des produits et des gammes afin d’optimiser leur profil nutritionnel (et gustatif) et identifier les allégations nutritionnelles et de santé autorisées
- Linda Nutrition, des supports de communication par et pour les diététiciens, proposant une Lettre papier (9.000 lecteurs), un Club digital (1.300 membres), un Baromètre de la pratique des diététiciens et bientôt un Festival Diet’ en Scène et les Trophées de la Nutrition
- Kapitch Wellness, des ateliers et formations bien-être en entreprise basés sur le tryptique Dormir-Manger-Bouger (par exemple pour les salariés travaillant en horaires atypiques)

En nutrition, aucun aliment n’est parfait et encore moins magique avec de super-pouvoirs. Les super aliments n’existent donc pas ; la « super » recette, c’est d’adopter sur le long terme une alimentation adaptée pour apporter au corps les nutriments nécessaires à son fonctionnement.
Le long terme est une dimension importante, puisque l’équilibre alimentaire se mesure sur plusieurs jours d’alimentation, pas sur un repas ni sur une recette et encore moins sur un aliment isolé.
L’équilibre alimentaire repose sur deux piliers : la variété (pour bénéficier des atouts de chaque groupe d’aliments), et la diversité (pour bénéficier des atouts de plusieurs types d’aliments au sein d’un même groupe, surtout au niveau des micro-nutriments). Pour les fruits et légumes, cette diversité est particulièrement souhaitable d’un jour à l’autre, d’une saison à l’autre, pour apporter la panoplie la plus large possible d’oligo-éléments, de vitamines, de minéraux, de polyphénols, de fibres et probablement d’autres composés intéressants que l’on ne connait pas encore…
En nutrition, aucun aliment n’est parfait et encore moins magique avec de super-pouvoirs. Les super aliments n’existent donc pas ; la « super » recette, c’est d’adopter sur le long terme une alimentation adaptée pour apporter au corps les nutriments nécessaires à son fonctionnement.
Le long terme est une dimension importante, puisque l’équilibre alimentaire se mesure sur plusieurs jours d’alimentation, pas sur un repas ni sur une recette et encore moins sur un aliment isolé.
L’équilibre alimentaire repose sur deux piliers : la variété (pour bénéficier des atouts de chaque groupe d’aliments), et la diversité (pour bénéficier des atouts de plusieurs types d’aliments au sein d’un même groupe, surtout au niveau des micro-nutriments). Pour les fruits et légumes, cette diversité est particulièrement souhaitable d’un jour à l’autre, d’une saison à l’autre, pour apporter la panoplie la plus large possible d’oligo-éléments, de vitamines, de minéraux, de polyphénols, de fibres et probablement d’autres composés intéressants que l’on ne connait pas encore…

Ces termes sont des allégations nutritionnelles et leur utilisation est encadrée par le règlement européen n°1924/2006.
Ce texte décrit très précisément des seuils de teneurs en nutriments à atteindre pour être autorisé à décrire un produit comme étant « source de » ou « riche en ». L’analyse se base sur 100g ou 100ml de produit tel que consommé.
Le vocabulaire utilisé est lui aussi bien encadré dans les textes : quelques synonymes de « source de » et de « riche en » sont indiqués et ils ne sont pas nombreux. Ainsi, on ne dira plus « contient » ou « apporte » à la légère ! Tiens, et le mot « légère » ? Lui aussi est encadré !
Il reste également des zones de flou pour certains nutriments non inclus dans la liste de ce règlement : glucides complexes, antioxydants, polyphénols… qui sont pourtant bien intéressants à connaître pour les fruits et légumes.
Et comme dans ce règlement, tout ce qui n’y est pas autorisé, n’est pas autorisé… ça nous laisse sur notre faim !
Ces termes sont des allégations nutritionnelles et leur utilisation est encadrée par le règlement européen n°1924/2006.
Ce texte décrit très précisément des seuils de teneurs en nutriments à atteindre pour être autorisé à décrire un produit comme étant « source de » ou « riche en ». L’analyse se base sur 100g ou 100ml de produit tel que consommé.
Le vocabulaire utilisé est lui aussi bien encadré dans les textes : quelques synonymes de « source de » et de « riche en » sont indiqués et ils ne sont pas nombreux. Ainsi, on ne dira plus « contient » ou « apporte » à la légère ! Tiens, et le mot « légère » ? Lui aussi est encadré !
Il reste également des zones de flou pour certains nutriments non inclus dans la liste de ce règlement : glucides complexes, antioxydants, polyphénols… qui sont pourtant bien intéressants à connaître pour les fruits et légumes.
Et comme dans ce règlement, tout ce qui n’y est pas autorisé, n’est pas autorisé… ça nous laisse sur notre faim !